Bonsoir, Olivier
Au nom de la laïcité (qui est , contrairement à ce que disent certains, aveuglés par leur foi) tout le contraire d’une religion, on ne doit « enseigner » aucune religion à l’école publique.
Enseigner le « fait religieux » c’est autre chose, quoique assez flou, et donc propice à certains dérapages, mais bon : en tant qu’éléments absolument indissociables des grands faits historiques, l’existence des religions doit être abordée ...C’est inévitable. Mais la limite doit être claire, il ne s’agit pas d’énoncer les préceptes des prohètes ni l’exégèse de textes religieux. Si, au cours de l’histoire, une religion ou « croyance » quelconque, même minoritaire, appelée secte ou pas a eu une incidence notoire sur le cours des événements historiques, alors elle doit être mentionnée comme telle, mais c’est tout.
Sarkozy n’est qu’un flatteur, lèche-botte de n’importe qui, capable de vendre n’importe quelle salade pour se faire bien voir, quitte à se contredire.
Arrêtons toutefois de l’attaquer outre mesure...Ce n’est pas une vermine, non, mais reconnaissons que c’est bien imité !!!
Extrait de dialogue avec ma pharmacienne, qui a sa fille à l’école « libre » catholique :
moi : Vous trouvez normal que le contribuable paie pour une école qui intègre des notions religieuses dans son enseignement ?
elle : absolument !
moi : Et si, l’islam étant la seconde religion en France, on vous prend une partie de vos impôts pour financer les écoles coraniques de France, ça vous est égal ?
elle : Ah là ce n’est pas pareil
On a tout dit. Amen