Je salue l’effort de recherche d’Olivier.
Mais annoncer la fin du monde vous expose fatalement au scepticisme et au mépris.
Compréhensible, car tous ces « signes » sont loin d’être évidents, leur interprétation non plus.
Différence notable cependant entre les hypothèses diverses et la Révélation (sens du mot grec ’apocalypsis’), c’est qu’elle indique que les pouvoirs mauvais, et non la terre seront détruits. Et que l’on peut survivre, débarrassés du mal.
Les pouvoirs mauvais : politique, religion et grand commerce. Ces trois coopèrent sous l’autorité du « grand dragon » Satan, lequel égare la terre habitée, toute entière (Rév. 12:12)
Après la destruction du mal, la terre et l’humanité retrouvera sa gloire originelle.
Pour survivre, il faut refuser la marque de la « bête sauvage » politique, son nombre 666, et ne pas adorer son image (l’ONU). (Rév. 13) Il faut sortir de la fausse religion (« la grande prostituée symbolique) (Rév. 18) car ses fautes se sont »amassées jusqu’au ciel« .
La fréquence des séismes peut se mesurer, le nombre des victimes étant lié aux concentration de population. La recrudescence de séismes est un des indices donnés par Jésus en Matthieu 24 concernant la fin (grec ’télos’) qui suit une période troublée qu’il nomme la »conclusion du monde« ou partie finale (grec sunteleya).
Mais ce jour »viendra comme un voleur« selon 2Pierre 3:9-13, c’est à dire quand on ne l’attend pas. Donc, pas de date, pas de spéculations. Juste l’attente éveillée. »Veillez !"