Monsieur Yang,
Je ne puis que
partager vos vues sur cette ignominie grotesque et absurde que l’on nomme
parité ; encore une de ces nouveautés qui sous couvert d’un soi-disant
progressisme ne fait que nous éloigner plus encore de la juste voie que la
Divine Providence nous a destiné et que notre Sainte Mère l’Eglise a de plus en
plus de peine à faire entendre à des masses dont le faible esprit se voit manipulé
par les suppôts du Malin, ainsi que par la corruption de ces élites germanopratines
pédérastes et pornocrates, dont l’inspiration ne saurait être que maçonnique et
judéo-bolchévique, et donc diabolique, s’opposant ainsi aux grandioses desseins
du Seigneur Notre Dieu.
L’Eternel dans son ineffable sagesse a destiné la Femme, à la propagation de la
vie, et à l’excellence dans les arts domestiques ainsi que dans les affaires de
la Maison ; ainsi non seulement il est conforme à la nature et à la Raison
de s’opposer à cette infamie nommée parité mais aussi à cette autre infamie qu’est
le droit de vote des femmes : celles-ci connaissent la place que Dieu et
la Nature leur ont accordé. Et même si nous ne contestons pas que nos fidèles
moitiés aient quelque intelligence, la force de leur intelligence n’apparaît
que lorsque par amour pour son époux et son esprit, la femme abandonne le sien
propre, et ainsi poussée par la force de l’esprit de son homme sur un terrain
qui jusque là lui était naturellement étranger, lui naît un second esprit.