Bonsoir Olivier,
Vous avez répertorié dans cet article un certain nombre de sources tournant autour de la fin d’un monde. Certaines, suite à analyse, amènent vers une date autour de 2012. Pas toutes, loin de là.
Car comment pourrait-on intelligemment initier une idée de date précise ou presque.
Ce qu’il faut retenir des différentes « prophéties » est beaucoup plus un mode de vie (à tous points de vue ; matériel, social, économique, humain...).
Il y a bien évidemment des faits troublants. Je pense notamment aux prophéties des Hopis qui sont surprenantes de justesse.
Maintenant, il est des paroles de sages qu’il faut savoir accepter comme des paroles de sages.... Rien de plus, rien de moins, et c’est déjà beaucoup.
Il faudrait être totalement aveugle, sinon parfaitement con, pour ne pas réaliser qu’actuellement l’humain dérive et court à sa perte.
Tout est en place pour que le modèle sociétal occidental se casse la gueule, mais tout autant des systèmes plus primitifs (sans aucune connotation de jugement, merci !), qui eux aussi partent à vau l’eau. (Je pense entre autres, à l’Afrique et les uerres inter-ethniques qui la déchire).
La question se situe sur le point de savoir si c’est l’ingérence d’une civilisation extérieure (occidentale en l’occurrence) qui provoque ces guerres intestines ou si il s’agit réellement d’un « pétage de plomb » de l’humain partout sur la planète ?
Il semble que les populations, très peu nombreuses, dans leur ensemble, comme dans leur particularisme, ne soient pas encore touchées par ces changements de l’état même de l’humain. Peut-être, voire même sans doute, ont-ils encore la sagesse, le bons sens et la simplicité nécessaire à l’évolution.
Oui, nous arrivons à la fin d’un monde, cela est limpide. Il nous faut réinventer de nouvelles bases pour mieux vivre, savoir garder l’utile (et eter le reste !) pour l’adjoindre à l’agréable.
Il faut de la sagesse, du calme, de la sérénité pour réflechir sainement, nous en sommes bien loin...
La seule notion positive que je vois est cette nécessité de se regrouper. Cela se voit partout, les réseaux sociaux sur le net en étant une des plus belle preuve. C’est le sens du mouvement qu’il est important de suivre pour l’instant. Reste à savoir comment le gérer au mieux et ensemble.
En attendant et vu l’état actuel des choses, je crains plutôt le pire. Une transition profondément violente (nous y sommes un peu), comme une sorte de raz de marée qu laisserait place nette à un renouveau.
Il nous faut être courageux, lucides, aimants, et...pratiques ! 
Cordialement.