Plus complexe que l’article semble le présenter...
je ne suis pas psy je précise !
Un couple c’est une rencontre. Les hormones fonctionnent lors du « coup de foudre » ce qui est purement « égoïste » car c’est son égo et ses hormones que l’on satisfait naturellement.
Puis viens les liens et les jeux de couples, tissés peu à peu dans une montée en puissance vers l’épanouissement de chacun des deux mais à deux. C’est cet état, je dirai -amical - et qui engendre l’amour véritable de l’habitude de l’autre qui est dans l’ensemble la permanence et la stabilité du couple au fil du temps.
Si cet état n’est pas stable c’est qu’il y a des raisons qui peuvent être multiples : un manque de sexualité ressenti par l’un ou par l’autre, très important pour un homme ; mais aussi « le jeu » dans la définition des liens, et le plaisir de séduire ! De nombreux paramètres sont entrent en jeux mais il est évident que l’on vit AVEC quelqu’un, et non pas « POUR » quelqu’un...
Nous sommes des êtres humains, et nous avons besoins d’effets miroir dans nos intimités et nos quotidiens. A part pour des questions matérielles, si « l’autre » ne veux plus jouer, alors on essaye de comprendre pourquoi en lui demandant objectivement et en face...
Si il y a un problème on le résous. Sinon c’est le grand départ et chacun reprend ses billes, nous sommes 7 milliards d’individus sur Terre et en France, beaucoup de personnes célibataire pour retrouver.... l’âme sœur...
je ne pense pas que se soit essentiellement le souci des mâles ; combien aujourd’hui de femelles profitent du couple un moment pour vivre au crochets d’un ex, et des aides de l’état !
Il est assez terrible de séparer les faits en maintenant une abnégation logique, mais les hommes « dénaturés par des chocs émotionnels » - plaqué et largué - sont la plupart dans interrogation de leurs valeurs masculines culturellement ; alors que d’autres sont diront nous, étrangés à toutes interrogations et plutôt pour la soumission de ces femmes à battre, qu’ils considèrent comme des animaux exotiques à dresser et à gérer...
Disons que le malheurs des femmes vient des femmes et de leurs choix initiaux.
Ma compagne et moi refusons de nous marier, nous vivons ensemble, nous sommes complémentaires et nous jouont beaucoup à nos indépendances comme nos mutualisations... et le principal : nous nous aimons car nous rigolons, complices !