Tu m’excuseras mais je ne vois pas où est l’analyse de Sevran.
Comme je le mentionne, Il peut dire la même chose sans être insultant ; des milliers de personne l’ont déja fait.
Sevran parle de faute.
Et je mentionne bien que la naissance d’un enfant est perçu comme une chance, surtout lorsqu’on évolue dans un milieu indigent voire hostile.
Je ne vois pas où est la faute, l’erreure morale me semble pas trop présente.
Je trouve également choquant d’entendre un monsieur bien gras avec un rapport occidental à la famille et à la nativité jeter l’opprobre non sur les africains, mais sur les noirs.
Et je suis également troublé qu’il ressente le besoin d’imputer la faute à la « bite des noirs » plutôt qu’a un groupe d’individus quelconque, aussi imparfait soit il.
Sevran s’est voulu choquant, voire insultant.
Et jusqu’a aujourd’hui, je ne percois pas d’autre finalité qu’une agitation médiatique favorable à la vente de son livre.
De plus, les famine furent bien plus souvent liées à l’instabilité politique qu’au manque de terres arables ou de ressources naturelles.
Je ne prétends pas que la vaccination n’a pas eu un impact démographique, je dis juste que les propos de Sevran, tel qu’il les a tenu sont insultant.
Et surtout, la liberté d’espression signifie qu’on peut tout dire, mais certainement pas n’importe comment.
Il ne viendrait à personne l’idée d’affirmer qu’on a le droit de voler son prochain et qu’il appartient ensuite à chacun d’assumer la responsabilité de son acte.
Je ne comprends pas pourquoi on aurai un droit à l’insulte ; je comprends d’autant moins que l’insulte raciale cosntitue un délit spécifique.