Le racisme anti-Blanc est présent partout en France et plus particulièrement dans 800 quartiers répartis sur tout le territoire (1,8 millions de personnes) où ils existent au vu de tous un « racisme antifrançais ». Huit critères ont été retenus par la direction centrale des renseignements généraux (DCRG) pour définir un quartier sensible : un nombre important de familles d’origine immigrée, pratiquant parfois la polygamie ; un tissu associatif communautaire ; la présence de commerces ethniques ; la multiplication des lieux de culte musulman ; le port d’habits orientaux et religieux ; les graffitis anti-occidentaux ; l’existence, au sein des écoles, de classes regroupant des primo-arrivants, ne parlant pas français ; la difficulté à maintenir une présence de Français d’origine. Victime de leur couleur de peau, les personnes « d’origine européenne – déménagent massivement et (…) les commerces traditionnels ferment. » (Le Monde 06.07.04), mais personne n’ose évoquer cet exode, cette forme de purification ethnique hexagonale : « on peut rien leur dire, sinon c’est les représailles. Ils vous cassent une vitre ou la boîte aux lettres. En trente ans, mes voitures ont toutes été fracturées et ma femme a été agressée trois fois » (Le Point 10/11/05, « La Grande Peur des Gaulois »)
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