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Commentaire de François-Ferdinand De la Friche en Souche

sur Revenir à la laïcité


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J’en ai plusieurs : je collectionne autant les recueils de rubayat de Khayyam que ceux des pensées de Marc-Aurèle (j’en ai plusieurs dizaines et douzaines en diverses langues dirons-nous) : j’ai toujours un exemplaire de chaque où que je sois depuis pas mal d’années : je sais…je sais…say nothing…

 

La version que j’ai utilisé là : traduction de Robin…exemplaire que j’ai sur ma table donc…pur choix pratique…grosse fainéasse que je suis…

 

Sinon, petite histoire…pour détendre Friedrich…et l’abuela à José …

 

Un jour qu’il se sentait mal en point, Nasrudin s’étendit sur le chemin qui menait à sa maison, se croyant mort. Il s’est dit que quelqu’un finirait bien par passer par là et irait annoncer la nouvelle au village. Comme personne ne vint, il se leva et alla chez lui annoncer la triste nouvelle à sa femme :
Halouma, je viens juste de mourir, tu trouveras mon corps sur le chemin qui mène à la rivière. Il repartit s’étendre à nouveau sur le chemin. Sa femme alla voir le cadi et lui dit :
-Mon mari est mort, il est sur le chemin qui mène à la rivière.
-Halouma, En es-tu sûr ? Je viens juste de voir ton mari qui gambadait comme un cabri et je t’assure qu’il se portait à merveille !
-J’en suis sûre !
Il est venu me l’annoncer lui-même !

 

 


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