Salut Sisyphe.
Ne rêve pas éveillé mon ami, car l’ex PS Mélenchon a toujours marché sur les pas de ses devanciers qui ne se sont jamais gênés de participer à la déconfiture du pays tout en se goifrant au passage des privilégiatures accordées aux paroliers politicards de la morne saison. Ce monsieur au langage peu chatié est un vulgaire paltoquet de surcroît amuseur de galeries qui est passé maître en rôle de composition et qui nous serine ses sérénades à l’emporte pièce dans l’optique de nous faire prendre les torchons pour des serviettes : surtout ne mélenchon pas les genres car de grâce, même si la vermine a la couleur de la rose, elle colle à la peau comme une seconde nature ad vitam aeternam. Ses incessantes jérémiades ne doivent pas nous atteindre en quoi que ce soit, car ce triste personnage est un homme des partis au sens où l’entendait jadis le grand De Gaulle. Il se glorifie d’avoir tancé un petit crétin prétentieux alors qu’il y a peu, il se pissait dessus lorsqu’une vermine UMPdu nom de Lellouche l’avait insulté et promptement menacé de lui coller une bastos dans la callebasse.