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Commentaire de non666

sur Pédophilie des prêtres - La faute au célibat ?


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non666 non666 1er avril 2010 09:53

Exceptionnelement, je suis d’accord avec stephanemot.
Les prédateurs sexuels choisissent effectivement souvent des milieux ou pourront s’exprimer leurs penchyants.
Stephanemot montre du doigt les pretres et les educateurs mais « oublie » les enseignants.
Or pendant des decennies l’education nationale a fermé les yeux sur les pédophiles pris sur le fait.
Se contentant, la plupard du temps, de les muter sans prevenir ni leurs futurs collegues , ni les futurs cibles...

Les milieux « de gauche » voient les pédophiles des milieux « de droite » comme les curés .
Les milieux « de droite » voient les pédophiles des milieux « de gauche » comme les instituteurs .
Tous le monde ferme les yeux collectivement sur les ballets bleux, les ballets roses ou Grands patrons, journalistes et politiciens de droite et de gauche s’envoyaient des enfançons, comme barbe bleu...

Enfonçons donc deux fois les enfançons ...

La pédophilie est toujours presente et il est symptomatique que quand Bayrou a montré Daniel Cohn bendit du doigt sur ce sujet, les memes qui l’ont defendu et se sont trouvés choqué de ce « colportage » aient defendu Mitterand et son tourisme sexuel ou Polanski (elle le voulait cette salope que je l’encule !)
Pourtant en cherchant bien chacun pourra retrouver la video du passage a Apostrophe de dany le rouge avouant ses pulsions....

Tout ça pour dire qu’au final, le sacerdoce est suspect , que ce soit celui des pretres, celui des « militants associatifs » ou celui a priori desinteréssé des enseignants.
Bien sur , il existe de bonnes ames mais il existe aussi des diables bien camouflés.

Braqué le projecteur vers les curés ,
parce que c’est la mode,
parce que les anglo-saxons poussent les eglises evangelistes chez nous, en ce moment,
parce qu’on montre du doigt le tchador et qu’il faut bien « compenser » si on veut vendre la mondialisation et l’abolition des frontières,
ce n’est pas gratuit et ce n’est surement pas denué d’enjeux.


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