L’auteur pourrait-il nous donner la définition - éventuellement la sienne propre - d’un « Paradis fiscal » ?
L’auteur ne confond-il pas tout simplement « Paradis fiscal » et « Secret bancaire » ?
A lire l’auteur et certains commentaires, on en déduit que tout pays appliquant une fiscalité plus avantageuse que la fiscalité française - même si cet avantage ne concerne que quelques points particuliers - est de facto classé « Paradis fiscal ». Ce raisonnement conduit donc à faire de la France un « Enfer fiscal » !
C’est l’application du principe qui veut que l’herbe est toujours plus verte chez le voisin. C’est ainsi que pour un Français, vivre en Suisse revient à vivre au paradis ! ???
En poursuivant dans cette logique : Mais alors de quel(s) pays - et dans quel(s) domaine(s) - la France est-elle perçue comme un paradis ?
Finalement à quoi sert la fiscalité ? Réponses :
1° A faire fonctionner l’État (écoles, hôpitaux, entretien des réseaux de transport, routes, défense nationale, salaires des fonctionnaires, etc.)
2° A financer les investissements publics (infrastructures diverses et nombreuses, etc.)
3° A payer l’intérêt de la dette publique et lorsque c’est possible de la ... rembourser. 
En partant du principe que tous les pays européens disposent du même niveau et de la même qualité des prestations de services publics, alors pourquoi seuls certains d’entre eux présentent des budgets déficitaires et des dettes publiques chroniques depuis de nombreuses années, déficits et dettes publics excédant les « critères de stabilité et de croissance » du Traité de Maastricht ?
Dépenser plus qu’on ne gagne c’est s’endetter et l’endettement est une perte de liberté. Pour un État, cette perte de liberté se traduit par des reports budgétaires au profit de l’intérêt de la dette publique et au détriment du fonctionnement de l’État et de ses investissements.
Cette situation conduit aux conflits sociaux !