Il y aurait beaucoup à faire dans cette petite guérilla de tous les jours et, pour ma part, j’essaye d’y participer mais parfois je suis un peu découragé.
Un exemple, une grande surface : ma compagne n’a que quelques achats, attend dans la file et la caissière lui conseille d’aller à la caisse automatique. Elle lui répond que c’est volontairement qu’elle ne l’utilise pas, ça participera peut-être à sauvegarder son emploi. Et bien, non, l’intéressée ne voyait pas en quoi ! « c’est quand même pratique, non ? »...
La banque, moi aussi j’en ai marre, il m’est arrivé aussi d’avoir un besoin de liquide (4 000 €) Je précise qu’il ne s’agissait pas de Carte Bleue et que mon compte était largement garni.
Pas possible : le système de sécurité ne laisse sortir que 3 000 €, après, il m’a fallu attendre au moins 1/2 heure pour avoir le reste et encore parce que ma « conseillère » attirée par mes protestation est intervenue en faisant le tour des caisses. J’aurais dû prévenir 48 heures avant !
Et je ne parle pas du signalement à Trac fin quand on retire « trop » de liquide. C’est censé lutter contre les « mulets » des trafiquants de drogue, entre autre. Résultat, chez moi cinq agences leur ont ouvert des comptes avec dépôts et retraits de fortes sommes en liquide sans problème ! Cerise sur le gâteau, le correspondant bancaire de Trac fin est de la famille d’un des cinq banquiers. Voilà à qui nous avons affaire. Procès à suivre (quand ? )
Pour le Crédit Coopératif, vers lequel je suis en train de glisser, je confirme tout le bien qu’on peut en penser. Leur organigramme est consultable sur le Net et transparent.