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Commentaire de morice

sur L'Anti-Edition de Marc-Edouard Nabe


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morice morice 5 avril 2010 23:35

L’admiration sans borne que vous éprouvez pour un écrivain qui n’est, de l’avis de personne, ni majeur ni inoubliable (Nabe est un histrion), ne doit pas occulter le réel. Surtout que vous en appelez à celui-ci.

C’est un publi-reportage, pas un article !!

La dame est celle qui édite Nabe, et partage sa vie (littéraire ?). Je l’ai déjà relevé ici-même dans un autre post. sur leur tract la Vérité

j’ai retrouvé l’opus : lisez-moi donc ce FATRAS...

LA VÉRITÉ
Mensuel - 3 euros
est une publication de La Rose de Téhéran,
SARL de presse
Siège social :
127 rue Amelot. 75011 Paris.
Directeurs de publication :
Anne-Sophie Benoit
Alain Zannini
Rédacteur en chef : Anne-Sophie Benoit
Conseiller artistique : Marc-Édouard Nabe.



« A part cela ce que je préfère chez lui c’est son ex-femme la délicieuse Hélène Hottiaux, »

 Nabe, le fils du musicien Zaninni, qui avait bien davantage de talents, est ouvertement et catégoriquement antisémite et raciste :

« Les Juifs avec leurs infiltrations dans les milieux financiers, sociaux, scientifiques, philosophiques et esthétiques du monde entier, et l’élaboration de la Jérusalem Terrestre, ou bien les Arabes avec leur pétrole pourri sont bien gentils près de cette violence-là qui fait du Noir le seul créateur de beauté possible au xxe siècle et pour tous les autres à venir, mettant plus bas que terre n’importe quel Blanc raffiné et bien-pensant, se servant de lui comme un larbin, sur son propre terrain, dans son point faible le plus vulnérable à mort : l’Art ! Son Cher Art niqué pour toujours... »


profondément raciste :

Depuis toujours, je suis raciste. J’espère que les Noirs vont finir par enculer les blancs » ; « les pédés, je les hais » ; « je ne m’excite pas trop sur les attentats antisémites de ces dernières années : ce ne sont que des rots bruyants. »

le deux se sont repris mutuellement des textes sur l’euthanasie, en les écrivant à 4 mains..

Le coup décrit ça n’a rien à voir avec la « liberté » : c’est une simple affaire d’argent.. :
(dans l’Express) :
Résultat : le premier tirage de 1 000 exemplaires a été épuisé en trois semaines. Et, début février, une mémorable prestation dans Vous aurez le dernier mot, l’émission de Franz-Olivier Giesbert, a entraîné 1 200 commandes supplémentaires. En valeur absolue, ces scores peuvent paraître modestes. Mais le calcul est vite fait : vendu 28 euros, les 2 000 premiers exemplaires de L’homme qui arrêta d’écrireauraient rapporté environ 5 000 euros à Nabe, s’il avait été publié chez un éditeur classique. Avec son nouveau système, une fois les frais de composition et d’impression déduits, ce sont près de 30 000 euros, soit six fois plus, qui reviennent à notre « anti-éditeur ».

Force est de constater aussi sur tous les sites où l’on parle de Nabe de l’arrivée d’une certaine « Tilly », qui vient l’encenser à chaque fois : c’est grossier et visible, il fait lui-même sa claque !
http://aldus2006.typepad.fr/mon_weblog/2010/01/marcedouard-nabe-un-auteur-qui-ouvre-boutique.html

voilà comment elle intervient ailleurs sur quelqu’un qui critique Nabe :
http://pierrecormary.hautetfort.com/tag/marc-edouard+nabe

« Cher gros con (restons poli),

On savait tous que tu étais gros et que tu étais con, mais pas à ce point là ! Les plus cons sont ceux qui se croient plus malins. (…) culotté comme tu l’es, gras poupon en couches (….) Mais pauvre con que tu es (…) erronée comme tout ce que tu écris (…) les membres musclés de sa famille vont très moyennement les apprécier (….) Tu vas encore déguster (….) obèse de la pensée autant que du corps ! (…) tu n’as rien dans le slip (…) tu peux te la foutre dans ton gros cul plein de merde aux yeux et dans les oreilles ! (…) ton incompréhension manifeste (… ) ta petite vision mesquine de la stratégie (…) gras bêta (…) ta dernière tartine virtuelle (…) Te voilà encore si sûr de toi et confondant tout (…) Oui, Cormary de mes ovaires (…) indémerdablement bourgeois ! ( …) Tu pues la bourgeoisie (…) imbécile ! (…) connard ! (…) porc bien connu au goût de chiottes (…) lâche que tu es (…) renégat de toi-même (…) c’est ton problème, pas le sien (…) mais de toi, gros lourd ! (…) ta névrose de zélateur (…) le nabisme auquel tu ne mérites plus d’appartenir (retourne à Houellebecq et à Sportès, ou à Zagdanski !) (…) tu te sers de ce que Nabe t’a appris pour le descendre (…) mon pauvre Cormary ! (…) pataud rouquin (…) fier d’être dans la préface négative aux côtés de Besson, Moix et Hallier... Mais c’est la honte pour l’éternité, gros tas ! (…) tu es un naïf (…) une méconnaissance aussi grosse que toi (…) gardien de musée amateur ! »


Pas mal hein... !!! ça change du style ici....


Réponse amusée de l’attaqué :

Oui, vous dont je ne connais pas le nom et que j’ai pris pour Anne-So, vous, trollesse en chef, caporalinette de mes deux, et que l’on continuera à appeler « nabesse », si au moins vous étiez vexante, si au moins vous saviez manier l’invective, peut-être aurais-je connu l’aiguillon de la honte (ce n’est donc plus à Anne-So que je m’adresse, hein ?) Mais comme à chaque fois devant vous j’ai l’impression d’être comme Siegfried devant le dragon et qui se demande ce que c’est que la peur. Ah là là ma pauvre cafarde qui se prend pour une scorpionne, je ne sais pas si Nabe m’a appris quelque chose (comme vous le sous-entendiez) mais en tous cas il ne vous a rien appris à vous. Votre acharnement à légitimer, défendre, légitimer, défendre, légitimer, défendre, légitimer, défendre, et justifier, justifier, justifier, justifier, justifier, justifier, justifier, justifier, justifier, justifier les élucubrations de votre maître finit par faire long feu. Vous le défendez encore plus mal que lui ne se défend, ce qui n’est pas peu dire. Et me donnez une importance qui me fait bomber le torse. Si ça continue, c’est moi qui vais prendre en main son site (Anne-So est d’accord, je pense)... Ne serait-ce que pour corriger quelques-unes de vos navrantes âneries (...)

Car, voyez-vous, la seule chose insupportable chez vous n’est pas vos misérables attaques contre moi ou contre d’autres, mais bien votre propension à faire de votre maître un saint intouchable. Vous parlez de Nabe comme Xavière Tibéri parlait de Jean. « C’est un saint, mon Marc-Edouard, un saint je vous dis.... » [C’est le problème des gardiennes de temple qui font tellement dans le zèle, l’adoration hystérique, et l’interdiction totale de critique, qu’elles finissent par donner envie de pisser sur le temple - un peu ce qui se passait sur le site de Houellebecq à une certaine époque, teasing Xabe.... C’est vrai, nabesse, votre servilité vous rend grotesque et pire finit par le desservir votre derviche adoré. ] Ne pleurez pas quand même, calmez-vous, j’ai fini.... Et je vous embrasse, tiens. Un baiser de Judas, ma spécialité.


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