ce qui est « marrant » avec les libéraux-libertariens, c’est qu’ils rejettent l’Etat mais ne refusent pas son argent ni d’éventuelles subventions comme toute association loi 1901 !
Leur publication
Contrepoints est une publication de liberaux.org, association loi 1901
pioché sur leur site libéral-libertarien :
Quelle est, pour eux, la langue de la liberté ? : l’ANGLAIS !!!
Ce terme désigne en général des mots qui ont inspiré les combattants de la liberté partout à travers l’histoire. Les exemples sont des œuvres de Bastiat, von Mises, Hayek, Jefferson, Friedman, et Rand. Aujourd’hui, la langue anglaise est également la langue de la liberté :
si vous connaissez l’anglais, nous disent les libéraux-libertariens, vous avez plus de chances dans la vie, donc plus de liberté. Tous nos programmes sont dispensés en anglais ; leur propagande ici : http://www.languageofliberty.org/
Bourses et formations libérales à l’étranger, répertorions-les !
http://www.liberaux.org/index.php?showtopic=43889&pid=628879&st=20&#entry628879
enfin, connaissez-vous ALEPS ? pour pensée libérale d’inspiration misesienne :
association pour la liberté économique bla bla bla
d’après les statuts parus au Journal Officiel du 10 décembre 1966).
Le troisième alinéa explique que le Conseil d’administration se soit fixé, par la suite, pour but de promouvoir l’idée de la liberté économique, moteur du progrès social, son support étant le développement des droits de propriété, de la responsabilité et des libertés contractuelles nourrissant les processus de marché.
http://www.wikiberal.org/wiki/Association_pour_la_libert%C3%A9_%C3%A9conomique_et_le_progr%C3%A8s_social
bref, pour le libéralisme-libertarien (ou libertarianisme) :
- la propriété c’est sacré,
- toute forme de gouvernement est mauvais
- les capitalistes sont de nobles héros
- les ouvriers n’ont aucun droit particulier
- les opprimés méritent leur oppression
Le libertarianisme, c’est en fait avoir la moralité d’un gangster fanatique. C’est l’adoration des gens déjà riches et célèbres ; c’est privilégier l’argent et la propriété par-dessus tout le reste