Commentaire de Voris
sur Les infiltrés de France 2 ont fait oeuvre utile
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Repensez à l’argument que je développe en début d’article et que, d’ailleurs, les journaliste n’ont pas pensé invoquer : la divulgation des informations était la seule façon de faire cesser les crimes et débuts de crimes en cours. Il n’y avait pas, comme pour l’affaire de maisons de retraite, d’autre source d’information possible.
Sachant cela, les citoyens témoins des faits pouvaient-ils constater mais ne rien faire ? Qu’est-ce qui prévaut, la conscience ou la déontologie journalistique ? L’intégrité physique des enfants victimes ou la protection des sources ? L’assistance à personnes en danger ou le respect scrupuleux des règles ?
L’attitude des journalistes dans ces affaires de pédophilie ne préjuge en rien leur implication dans des affaires différentes. Elle ne permet pas de dire que la divulgation des sources se fera pour des cas moins graves ou quand la police a d’autres moyens de parvenir à ses fins.
Derniers commentaires
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12/04 21:45 - Francis
Bonjour, il me semble que vous mélangez allègrement délation et dénonciation. L’un est (...)
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10/04 12:57 - zelectron
Et si les journalistes avaient dénoncés ces horreurs de façon anonyme, personne n’en (...)
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10/04 00:43 - Carl
C’est bien de vouloir débattre, encore faut-il maîtriser le sens des mots ! Je suis (...)
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09/04 21:38 - Voris
Vous dites : « vous ne seriez pas ici à nous gonfler avec votre histoire de maisons de (...)
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09/04 19:52 - Voris
Vous faites une fixation sur les pédophiles : je rappelle que mon article traite exclusivement (...)
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09/04 18:50 - raymond
Pas d’accord Voris sur ce coup, cedprobléme « s’il existe » n’est pas que la (...)
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