Influence majeure du soleil-émetteur et de la Terre-modulateur.
Les variations de l’irradiance solaire totale affectent 10 fois plus le rayonnement ultra violet que le rayonnement visible.
Elles sont aussi corrélées avec l’intensité de son champ magnétique et avec celle du vent solaire (flot de matière ionisée qui baigne tout le système planétaire)
En réaction, l’extension du champ magnétique terrestre varie.
Si l’activité solaire diminue, davantage de rayons cosmiques entrent dans l’atmosphère de la Terre, cela provoque davantage de nébulosité (les rayons cosmiques favorisent la formation des nuages à basse altitude), l’albédo augmente (moins de rayons sont captés par l’atmosphère terrestre).
La température de la ionosphère varie, elle, d’environ 300% , ce qui influence la chimie de la stratosphère (la couche d’ozone...) et sa dynamique.
Bref, les micro-variations de l’activité solaire provoquent beaucoup de rétroactions, dont les conséquences ne sont pas mathématiquement linéaires.
Il en est de même pour le CO2, mais celui ci est absorbé par les plantes -nous n’avons qu’à soigner nos forêts- et surtout stocké en carbone, libérant l’oxygène, et ce d’autant plus qu’il fait froid. Et inversement s’il fait chaud, le carbone se libère sous forme de CO2. Mais toute l’attention à propos du réchauffement est polarisée là dessus, ce qui fausse l’exposé.
Il en est aussi de même pour ces émissions d’ondes VHF et UHF, soit disant inoffensives car
n’affectant pas la stratosphère. Mais comme elles sont répercutées par la ionosphère, qui influence la chimie de la stratosphère...