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Commentaire de Aurélien Péréol

sur Je suis une femme, pourquoi pas vous ?


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Orélien Péréol Aurélien Péréol 12 avril 2010 22:46
Ce n’est pas mon amertume qui est en jeu, c’est le viol de la loi par des experts et des juges.
Je ne suis pas du tout dans la guerre des sexes et dans la guerre des couples, comme vous m’y mettez. Je n’expose pas un problème psychologique même si le viol de la loi que l’on m’a appliqué et qu’on a appliqué à mes enfants me pose un énorme problème psychologique, j’expose à quoi sont prêts des hommes politiques (la justice est un des troi spouvoirs) pour rétablir les rôles parentaux.
Tant que vous n’intégrerez pas ce fait, et des milliers d’autres, à vos analyses, vous ne brasserez que du vent.

Vous écrivez : « je suis convaincue que de grandes injustices se commettent dans ce domaine ». C’est déjà pas si mal. La conviction ne suffit pas. Il faut l’analyse qui intègre le maximum de faits. Ce n’est pas un à-côté des relations hommes-femmes, embarrassant, détestable, mais un épiphénomène.
Tout le monde le sait. Ecoutez cette blague : Quelle est la ressemblance entre un ouragan et une épouse ? Au début, c’est tiède, c’est doux et humide, et ensuite, ça emporte, la voiture, la maison, les enfants et tu n’as plus que les yeux pour pleurer.
On me l’a raconté plusqieurs fois. Des gens qui ne se connaissent pas me l’ont raconté. Tout le monde sait que les hommes perdent leur dignité humaine et leur dignité de citoyen au tribunal aux affaires familiales, qu’ils sont des sous-citoyens, des coupables de naissance.
Vous ne connaissez pas mon affaire. Si vous en avez le temps alles lire les post texte de l’enquêtrice sociale 5 mars 2010, et texte du psy 11 mars 2010. Ces textes ont été les seuls honorés par les « juges ».

François de Singly m’a demandé un récit de mon expérience disant que la défense des femmes aboutissait à des excès contraires. J’ai un récit (150 p) je lui ai envoyé. Plus rien.

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