Sarkozy a beaucoup de défaut mais certainement des qualités. Il n’est pas réactionnaire et c’est une bonne chose. Il jouit du soutien de nombreux artistes (lol) et c’est aussi une bonne chose.
Le Gros problème de Nicolas et du peuple français est qu’il oblige ces derniers à voir les élections présidentielles avec appréhension. La crainte d’un deuxième tour comme en 2002 fait froid dans le dos.
Pourtant le risque reste grand et j’ai le sentiment que le petit Nicolas commence sa campagne en suscitant la calomnie pour donner plus de crédits à ses arguments de campagne encore en gestation.
Une grande question serait de savoir, quels sont les dangers d’un homme comme N. à la Présidence ?
Une femme à la Présidence, je n’imagine rien de mieux, mais la route est encore longue.
Etant donné que l’autorité Européenne prend de plus en plus le pas sur l’autorité nationale, il semble que la rupture avec les grands et ronds pour laisser la place aux petits soit justifiée.
Si j’avais été N., j’aurai non pas accès la campagne sur le rupture mais sur le renouvellement des idées et des pratiques visant à leur modernisation, ce qui est en adéquation avec le rôle possible des nouvelles technologies dans la gouvernance. Je suis certain que Ségolène a également son lot de rupture et j’espère qu’avec François ils ont suffisamment d’indépendance pour pouvoir les mettre en oeuvre.