Wikipedia sur la dette argentine :
Le montant de la dette, en souffrance depuis décembre 2001, se monterait à 82 milliards de $US plus les
intérêts en retard, soit un montant avoisinant les 100 milliards de $US
(janvier 2005, 76 milliards d’euros).
Le ministre de l’économie, Roberto Lavagna,
affirme que les dettes à l’égard des organismes internationaux et les
obligations émises à l’intérieur du pays depuis 2002, pour
compenser les réductions de salaires des fonctionnaires, ont toujours
été honorées, soit 43% de l’ensemble de la dette.
Il propose aux créanciers, un plan de restructuration de 66% de la
dette par échange des créances en défaut contre de nouvelles créances,
mais en concédant une perte de 75% de la valeur. L’Argentine va mieux,
mais elle ne peut faire une offre plus généreuse sans compromettre ses
équilibres financiers futurs. Le ministre affirme qu’« il ne fera
plus aucune offre dans le futur » et que ceux qui refuseront cette
opération de restructuration risquent de ne jamais rien recevoir de
l’État argentin.
L’Italie est le pays le plus touché par cette restructuration avec
450 000 petits porteurs de titres, pour la plupart des retraités,
représentants 15% de la dette en défaut. Les banques italiennes sont
accusées d’avoir trop incité leurs petits clients à investir dans des
obligations de l’État argentin, sans les avertir du risque croissant de
banqueroute du pays.
En ce qui concerne la dette francaise, on pourrait la rembourser sur la duree, mais ce n’est pas en l’aggravant chaque annee que l’on va ameliorer la situation.