Tous les débats religieux sont très intéressants, bien sûr mais ils n’ont aucune portée pratique.
Pour clore celui-ci, nous pouvons nous contenter de remarquer que l’islamophobie n’est pas plus un racisme anti-musulman que la naziphobie (Adolf Hitler aurait dû inventer ce concept, il a manqué d’à propos !) n’était un racisme anti-aryen.
L’Islamophobie n’est qu’un mot inventé pour cacher la réalité.
En ajoutant que cet abus de langage n’est qu’une vaine tentative de museler un débat qui est désormais au centre de la vie politique dans toute l’Europe.
Le débat religieux n’a pas de portée pratique, et il nous importe peu de savoir que les chrétiens blasphèment l’Islam en prétendant que Mahomet n’était pas un prophète, ou que les musulmans blasphèment le Christianisme en prétendant que Jésus était un prophète musulman, ou le Judaïsme lorsqu’ils prétendent que Jérusalem est une « ville sainte de l’Islam », en revanche il y a d’autres débats qui s’ouvriront bientôt et qui auront une portée beaucoup plus large.
Des débats juridiques et politiques :
- La lapidation des femmes adultères est-elle permise ?
- La répudiation des femmes est-elle autorisée ?
- Est-il licite de réclamer des heures d’ouverture uniquement réservées aux femmes dans des bâtiments ouverts au public ?
- Le port d’accoutrements vestimentaires exclusivement réservés aux femmes est-il conforme à la loi ?
- La polygamie est-elle légale en France ?
- Les appels au meurtre des « infidèles » sont-ils tolérables au regard de la loi ?
- L’infériorité juridique des femmes pour ce qui concerne l’héritage, ou le témoignage en justice, est-elle conforme à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen ?
On en finirait pas de recenser les préceptes de l’Islam qui ne sont pas conformes au Code Civil ou à la Constitution.
Et il convient de rappeler ici que les problèmes que nous découvrons aujourd’hui découlent du fait que les musulmans ont remarqué eux aussi l’incompatibilité de l’Islam avec les lois de la République.
Puisque ce sont leurs demandes d’annulation ou de modification de nos lois qui nous ont mis la puce à l’oreille. On se souvient par exemple du procès de Lille au cours duquel des plaignants musulmans ont demandé l’introduction du droit à la répudiation des épouses dans notre droit matrimonial.
En fait nous assistons aujourd’hui à de vaines tentatives de nos politiques pour repousser touts ces questions sous le tapis le plus longtemps possible.
Mais, malheureusement pour eux, les musulmans se chargeront eux-mêmes de leur rappeler ces incompatibilités fondamentales entre le droit musulman et le droit républicain !
Elles sont si nombreuses qu’ils n’auront que l’embarras du choix !
A suivre donc.