"les intérêts des particuliers et des grands méchants argentiers sont
intrinséquement liés...«
C’est ce que l’on veut vous faire croire, mais ce n’est pas vrai... Si les particuliers retirent leur monnaie des banques actuelles, qui va le plus souffrir ?
»Or nos sociétés occidentales ont besoin de rentes pour permettre à leurs
populations vieillissantes une fin de vie dans des conditions
d’autonomie suffisante...«
Aujourd’hui, la plus grosse rente est versée... aux banquiers, et bien sûr en fait à leurs propriétaires. Il s’agit des intérêts sur la monnaie qu’ils créent.
Selon la BCE, il y avait 15931,1G€ d’encours de crédits au 31/12/2009, ce qui représente un intérêt annuel de 796G€ estimé à 5% de moyenne (chiffre réel inconnu...).
L’autre solution : la monnaie créée est distribuée équitablement à tous les citoyens, au lieu d’être donnée exclusivement aux banquiers : c’est l’idée du revenu d’existence.
»L’épargne sûre de « bon père de famille » ne permet pas aujourd’hui de
compenser l’inflation...«
Non seulement elle ne permet pas de compenser l’inflation des prix , mais surtout elle ne permet pas de compenser la VRAIE INFLATION, l’inflation monétaire, qui est de plus de 8% par an depuis que les chiffres de la BCE sont publiés, à ajouter à l’inflation des prix.
»Il semble donc que ce soit les Etats qui encouragent à la spéculation
des ménages et non les argentiers.«
Mais ce sont les mêmes, toujours pas compris ? Qui était Pompidou ?
»il entre avec l’appui d’un ami (R. Fillon) à la banque Rothschild en 1954 jusqu’en 1958, et de
début 1959 à
1962.«
»Pour pouvoir redistribuer les cartes, il nous faudra obligatoirement
passer par un cycle de destruction de valeur...«
Attention, la destruction de la monnaie n’est pas destruction de valeur : la monnaie n’a aucune valeur, c’est seulement un moyen de comparer les échanges, normalement. L’utilisation en échelle de valeur est un détournement de sens.
Ce qui a de la valeur, la valeur ajoutée, c’est le travail humain...
Et les valeurs immobilières n’auront que plus de valeur si la monnaie est détruite.
L’effet du crédit, c’est d’obliger les citoyens à céder leurs valeurs patrimoniales réelles à »vil prix" aux faux monnayeurs...
C’était même dit explicitement pour la Grèce : des allemands ont dit aux grecs qu’ils n’avaient qu’à vendre leurs iles....