Ne vous inquiétez pas, vu leur quantité, on n’a pas fini de parler des affaires de pédophilie chez les curés (chez les footeux non plus d’ailleurs).
Une autre différence très visible et qui fait que les medias seront toujours plus attirés par ces affaires là au foot : les affaires de sexe chez les footeux font « rêver » alors que celles chez les curés pas du tout du tout.
Chez les footeux, vous avez là des beaux mecs - pas tous, suivez mon regard -, des vêtements chers, des grosses bagnoles, du bling-bling, des bonasses à gros seins, le roi fric qui coule à profusion, la profession qui attire le plus les garçons de moins de 12 ans, des fantasmes « sains » et naturels, des histoires d’adultère - toujours, ô combien fascinantes -, un fonctionnement de la sexualité conforme à ce qu’on attend - la femme se soumet à la puissance du portefeuille -, etc.
Par contre, chez les curés, on a des mecs gris, des femmes moches, des fantasmes non assumés, de la frustration, une vague odeur de naphtaline, un côté sordide et dégueulasse - au moins dans les cas de pédophilie -, un côté plus intellectuel - le curé ne pouvant évidemment parvenir à ses fins avec de l’argent qu’il n’a pas -, etc.
Un psychanalyste dirait peut-être que dans le 1er cas on a une séduisante pulsion de vie et que dans le second on a une repoussante pulsion de mort.
On est bien loin de tout complot