A l’auteur
Vous avez bien raison de parler d’Onfray mais je trouve que reprocher à un homme d’attendre une sureté financière avant de laisser son activité salariale plutôt bas .
Vous incitez le lecteur à aller vers les enseignants en philosophie de notre très précieuse éducation nationale plutôt que de lire les philosophes contemporains. Etrange quand on sait que ce n’est pas la philosophie qui est enseignée mais bien plus l’histoire des philosophes et de la philosophie. L’enseignement ne fabrique que des singes savants qui sauront briller en société en citant ce qu’ils ont ingurgités sans trop comprendre. Typiquement la bobotitude que pourtant vous semblez exécrer.
Onfray a quand même à son actif le création de l’université du savoir qui permet à beaucoup de la france d’en bas d’accéder gratuitement à ce que la france n’a pas su leur offrir.
Freud n’est pas plus intouchable qu’Onfray et l’on peut au moins porter au crédit de ce dernier qu’il ne s’embête pas avec la langue de bois.
Je ne lirai pas son bouquin sur Freud car je me fous de Freud. Par contre je l’ai entendu parlé de son bouquin et c’est loin de ce que votre intuition semble en avoir tiré.