hier soir, je suis tombé un peu par hasard sur l’émission de Giesbert, ’le dernier mot« émission que je n’aime pas du tout, avec un »animateur« qui a, entre autres, fait 3 erreurs concernant les livres d’une invitée, dont il n’avait lu que le titre, et encore ’(confondre un essai et un roman, il faut le faire) mais bon, il a eu un débat, avec Onfray et Catherine Meyer, Clotilde Leguil, et Boris Cyrulnik.
Sans prendre parti pour les uns ou les autres, une chose assez drôle m’a éclairé sur l’approche qu’ont les invités dans ces débats, Onfray a signalé à la fin qu’il y avait une énorme coquille dans son livre, que personne dans l’honorable assistance n’avait relevée, ni Giesbert qui ne lit pas les livres de ses invités, ni les invités »spécialistes« venus s’opposer à Onfray.
j’en conclus que chacun des détracteurs d’Onfray était dans la situation d’un critique »assermenté« qui expertise quelque chose qu’il ne connait pas.
Et à des points précis sur Freud, soulevés par Onfray, ses opposants ne répondaient pas directement, mais développaient leur argumentation, à partir de leur opinion pré établie.
Etant neutre dans le débat, et non spécialiste de la chose psy, j’en suis resté sur une position qui me rend Michel Onfray plus sympathique que ses »adversaires" venus parler de sonn livre sans l’avoir lu vraiment