nous réinventera un « cimetière de Carpentras » ou quelque chose dans la lignée pour détourner les électeurs potentiels du FN.
pour la énième fois, c’est bien des mecs d’extrême droite qui avaient fait le coup.... alors vous pouvez continuez à le NIER, mais la justice a tranché...
Le 30 juillet 1996, un certain Yannick Garnier, 26 ans, se présente de lui-même au commissariat d’Avignon, et avoue être l’un des profanateurs. Il dit ressentir le besoin de se libérer de ce secret pour changer de vie et de ne pas avoir à mentir à la femme dont il est récemment tombé amoureux. Ses aveux confirment qu’il s’agissait bien d’un acte antisémite commis par des néonazis. Il dénonce ses quatre complices qui sont arrêtés aussitôt, sauf l’un d’entre eux, le meneur, Jean-Claude Gos - qui avait été interpellé dès le 11 mai 19908 et relâché après 24 heures - bonehead originaire de Denain (1966-1993) et membre du PNFE, tué le 23 décembre 1993 dans un accident de moto sur une route de la grande banlieue d’Avignon, après une collision avec une voiture dont le conducteur (Rachid Belkir, 36 ans) sera retrouvé mort en 1995, noyé dans le Rhône9, deux lourdes pierres attachées aux pieds.