"Ainsi, on ne mentionnera pas les énormes progrès économiques obtenus au
Chili, ni sa stabilité politique depuis deux décennies car il ne
faudrait surtout pas qu’un lecteur puisse arriver à penser que,
finalement, Milton Friedman avait peut-être raison lorsqu’il affirmait
que les réformes libérales dans le domaine économique finissaient par se
transformer en réformes politiques démocratiques."
le stade national sert de prison à
ciel ouvert pour 40 000 personnes.
D’autres prisonniers sont détenus et torturés au stade Chili, et dans des camps de
concentration organisés à la hâte[20].
Selon le rapport Rettig publié en 1991, le
nombre de victimes de la junte
militaire est de 2 279 victimes,
dont 641 tués pour des motifs
non élucidés (crapuleux ou politiques), et de 957 disparus[14].
La Commission chilienne sur la prison politique et la torture dans le rapport Valech en 2004
comptabilise 33 221 arrestations
arbitraires et cas de tortures entre 1973 et 1990, dont 27 255 personnes pour des raisons
politiques.
Malgré la difficulté d’établir un recensement précis, on estime
qu’entre cinq cents mille et un million de Chiliens auraient quitté le
pays entre 1973 et 1989.
Wikipedia
C’est sans doute ce qui était nécessaire pour d’énormes progrès économiques ?
Assumez-le alors ! Un peu de courage !