Cher Paul Villach,
une fois de plus les fins analystes des choses de la vie et des vérités vraies, réfutent votre analyse des leurres récurrents dont use et abuse la presse commerciale à l’image des publicitaires qui maitrisent l’art de nous faire prendre des trippes de porc pour des cotelettes d’agneau.
Monsieur Villach, vous devriez avoir honte de défendre vos idées : « enfoncer des portes ouvertes » comme dirait le bien pensant moyen, ne sert à rien. Comme il vous l’a été démontré dans votre précédent article, le niveau culturel moyen des français est élevé. Ainsi nos compatriotes ne se font jamais avoir par les leurres publicitaires et journalistiques que vous démontrez. Ils n’achetent qu’en conscience, après étude précise du rapport qualité/prix, ne se projetent jamais sur des symboles, seul le pragmatisme et l’esprit cartésien les guide.
Ainsi le schéma : foire de Paris=> Foire d’empoigne=> Gros bordel => pute camerounaise => pipe exotique à prix cassé, est parfaitement perçu et décrypté. Les publicitaires n’ont pas fait exprès d’utiliser cette perfide allusion sexuelle, ou alors ils savent que nous savont, et que ça marche quand même. (sauf pour les fins analystes du bar des sports à qui ont ne la fait pas)
Donc, sans ironie aucune, je vous demande Paul de cesser de nous montrer par quels biais récurrents car efficaces nous sommes collectivement et ouvertement considérés comme des crétins de consommateurs.