" pourquoi vous ne demandez pas, comme nous, au FBI de répondre à cette
question ?« : En neuf ans, aucune personne, je dis bien aucune, n’a témoigné, face à un organisme policier ou même un journaliste quelconque, avoir été le témoin de choses étranges au WTC. Personne n’a jamais déclaré avoir vu des travaux y être effectué de nuit ou le week end. Aucun n’a jamais dit qu’il a trouvé son bureau déménagé d’un étage au prétexte de travaux quelconque.
En 2001, le taux d’occupation des tours était de 95 %. Aucun étage n’était complètement vide.
La question que je pose est celle-ci : sachant tout cela, comment pouvez-vous imaginer qu’une (ou plusieurs) équipe aurait pu y travailler des semaines pour installer un dispositif de démolition controlée sans qu’aucune des presque 10 000 personnes qui y travaillaient ne remarquent quoi que ce soit ? Sachant evidemment qu’il y a toujours du monde dans les tours, même la nuit et le week end.
» par une bonne maîtrise de l’altitude de l’avion« : argument idiot : l’effondrement a commencé juste au niveau des impacts, et non en dessous.
»les « explosifs » au sens large ne sont pas forcément « fragiles »,
contrairement à une idée reçue« : les explosifs ont besoin d’un détonateur pour exploser. Mais un choc trop brutal ou une température trop élevée peuvent déclencher l’explosion même sans détonateur.
Un boeing plein de carburant de plein fouet, ça entre dans la catégorie.
»Quelle est la probabilité pour que 236 + 47 = 283
colonnes, réparties sur près de 4000 m2, rompent à la même fraction de
seconde ?" : Deja l’impact du boeing en a coupé ou brisé une bonne partie. Le reste de la charge s’est dès lors mis à peser sur les colonnes restantes. Elles ont résisté jusqu’au moment ou un nombre suffisant d’entre elles sont entrées en flambement à cause de l’incendie qui a amoindri leur capacité de résistance et de support de charge.
Dès lors, les colonnes restantes se sont brisées sous le poids de la charge à supporter.
Les étages ont résisté 50 et 100 minutes avant que la charge ne devienne insupportable pour les colonnes intactes. Le bris se fait alors en quelques instants.
Quand à comparer l’événement avec un autre, il faudrait trouver une autre catastrophe impliquant un avion percutant un immeuble à la structure semblable.