Notre ami Alain Minc le libéral de gauche tout comme son ami Strauss Khan se déclarait sans rire le dernier marxiste de France,on ne sait plus si on doit rire avec ces saltimbanques !
Ceux qui ont le droit à la parole dans ce pays,sont uniquement ceux qui valident la politique de paupérisation des masses,ces omnipotents et omniprésents du petit écran nous déverse au quotidien leur traitement de choc ayant surement du lire assidument les recommandations de Milton Friedman et celles de l’école de Chicago en matière de coupe dans les dépenses publique.
Il faut en outre rappeler que Minc est une vulgaire plagiaire qui poursuit malgré sa condamnations à nous prodiguer chaque jour à nous les gueux ses bons conseils en matière de serrage de ceinture.
Le
PPA frappé au cœur
»Pour
le QVM (Quotidien vespéral des marchés, ex-Le Monde),
la condamnation d’Alain Minc pour plagiat est un
camouflet :
Minc préside le « conseil de surveillance » de ce
journal. Or, selon Raminagrobis (Colombani, directeur
du QVM)
un président de conseil de surveillance d’un journal a
pour
rôle de « veiller au respect de l’indépendance » [voir
encadré p. 2]. Au moment où ce journal
entre en Bourse,
l’indépendance du Monde est donc soumise aux
caprices
d’un personnage condamné pour « plagiat »,
« reproduction
servile » et « contrefaçon ».
Les
analyses du conseil scientifique de PLPL sont
formelles :
avec ce jugement, c’est l’ensemble du PPA (Parti de la
presse
et de l’argent) qui se trouve frappé au cœur. Le
Plagiaire Servile
Alain Minc est en effet au centre du dispositif qui
soude des
hauts fonctionnaires, les patrons qui plastronnent,
les médias
qui mentent et un quarteron d’intellectuels à gages.
Lui-même
ancien haut fonctionnaire, ex-industriel, conseiller
de grands
patrons, responsable de presse et auteur de deux
douzaines d’essais
à prétention intellectuelle, Minc joue le rôle de
passeur entre
ces divers milieux. « Son secret, c’est de passer
pour
un homme de presse auprès des banquiers, pour un
financier auprès
des journalistes, pour un écrivain auprès des
industriels. »
(Stéphane Marchand, Le Commerce des illusions,
J-C. Lattès,
p. 153) Il monnaye aux uns l’aide ou le contact des
autres.
Pour mesurer la surface sociale du plagiaire, il
suffit de rappeler
la manière dont, en 1999, il a fêté son cinquantième
anniversaire :
« Le mercredi 14 avril, il avait réservé le célèbre
restaurant
du Palais Royal, “Le grand Véfour”. Et c’est dans un
impressionnant
ballet de Safrane, de Mercedes et de BMW que ses
invités sont
arrivés. C’était l’événement mondain de l’année. Minc
avait
tenu à s’entourer de tous ceux qui comptent à Paris et
qui sont
évidemment ses amis : les journalistes Jean-Marie
Colombani,
et Franz-Olivier Giesbert, les banquiers Jean
Peyrelevade (PDG
du Crédit Lyonnais), David de Rotschild et François
Henrot (Paribas),
les industriels François Pinault, Vincent Bolloré et
Pierre
Blayau, Jean Drucker et Pierre Bergé, le baron
Ernest-Antoine
Seillière. La gauche étant au pouvoir, deux ministres
avaient
tenu à souffler en si brillante compagnie les bougies
de cet
anniversaire : Martine Aubry et Dominique
Strauss-Kahn,
accompagné de son épouse Anne Sinclair. »
(Le Canard enchaîné, 21.04.99)"
http://www.homme-moderne.org/plpl/n8/p6-7.html