La génération de 68 comportait, comme toutes les générations, outre les « soixante-huitards », qui avaient compris bien avant tous les autres, et dénoncé, les dangers de la société de consommation, qui manifestaient pour une société plus juste, moins soumise aux puissances financières, comportait, donc, une majorité d’abrutis comme toi, mon pauvre calmos ; d’imbéciles déjà résignés à n’être que des numéros, et chacun pour sa gueule.
Rien n’ a changé, sauf que les rares voix qui se faisaient entendre pour mettre en garde de l’oppression à venir, ont été ; soit récupérées par la pub triomphante, soit couvertes par la multitude des couards, des égoïstes, des tenants du sauve-qui-peut-chacun-pour-sa gueule, dont tu es, ici, calmos, un parfait représentant.
Les « soixante-huitards » avaient, eux, au moins, de la dignité, et un esprit de révolte, qui a été laminé par la grande masse des cons-sommateurs qui ne voient pas plus loin que le bout de leur caddy, et des lâches pour qui seul compte leur propre confort.
La France, l’occident, sont devenus ce que tous ces frustrés aveuglés en ont fait ; des agrégats d’individus isolés, soumis, dociles, serviles, ne trouvant plus, comme objets de défoulement, que des boucs émissaires, leurres facilitant les divisions, le sectarisme, l’isolement.
Et ça se pose en donneur de leçons !!
Calmos, tu es un gros con nuisible (et je pèse mes mots).