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Commentaire de morice

sur Heroic Frazetta


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morice morice 17 mai 2010 22:06

Pour ma part, j’ai assez perdu de temps avec quelqu’un qui, visiblement, ne connait pas grand chose à la peinture, mais s’érige en spécialiste...


« illustrateur » , hein, c’est cela ... pour Rockwell !!

pas reconnu, on joue l’élitisme . et ne veut pas caser Hopper où tout le monde le case. Comme PRECURSEUR de l’hyperréalisme. Comme Rockwell
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hyperréalisme

http://fr.wikipedia.org/wiki/Edward_Hopper
Hopper se rapproche d’un de ses contemporains américains, Norman Rockwell. Mais, tandis que Rockwell glorifie l’imagerie des petites villes américaines, Hopper y dépeint la même solitude que dans ses scènes urbaines.
Edward Hopper aimait aller au cinéma et le septième art exerça une certaine influence sur son œuvre23. La peinture de Hopper possède en outre un « caractère éminemment photographique24. » Les vues en hauteur (Bureau dans une petite ville, 1953), en plongée (Village américain, 1912 ; La Ville, 1927) ou en contre-plongée (Maison au bord de la voie ferrée, 1925 ; Deux Comédiens, 1965) en témoignent, de même que les cadrages, les effets d’éclairage et la mise en scène de ses tableaux.

http://www.artnet.fr/event/77779/hyperrealistes-americains.html

HYPERRÉALISTES AMÉRICAINS
American Photorealism

Baeder, Blackwell, Cottingham, Estes, Goings, Hanson, Kacere and McLean

à la galerie du 7 septembre au 1er octobre 2005
à la FIAC du 5 au 10 octobre 2005

Patrice Trigano présentera à la galerie du 7 septembre au 1er octobre et sur son stand à la FIAC du 5 au 10 octobre des œuvres d’artistes majeurs de l’hyperréalisme américain tels que Richard Estes, Duane Hanson, Ralph Goings, Robert Cottingham, John Kacere et Richard McLean.

Cette exposition de groupe fait suite à une série d’expositions personnelles d’artistes hyperréalistes américains, organisées par Patrice Trigano depuis 2003 et prolongera celle qui aura lieu à la galerie du 7 septembre au 1er octobre 2005.

À la recherche d’une distanciation vis-à-vis du réel, les hyperréalistes ont pour source commune d’inspiration l’image photographique. Profondément attachés aux objets et mode de vie de la société américaine, les hyperréalistes témoignent à travers les scènes les plus banales de la vie quotidienne d’un monde moderne en perpétuelle mutation.

Inscrits dans la lignée des grands peintres réalistes américains comme George Bellows, Charles Sheeler et Edward Hopper, les artistes hyperréalistes apparaissent aujourd’hui comme faisant partie d’un des mouvements phares de l’histoire de l’art.

http://www.hedonisme.be/archives/cat_expo_tendances.php

 Ultra moderne solitude

Edward Hopper a été un des premiers peintres américains à faire de l’« american way of life » à la fois le contenu et le prétexte d’un vocabulaire pictural nouveau, Hopper marquera durablement le réalisme américain, mais aussi les artistes du pop art et de l’hyperréalisme. Jetant un regard apparemment objectif et froid sur la société américaine de l’entre-deux-guerres, il s’attache en fait à souligner la solitude de l’individu dans les grandes villes, mais aussi dans son intimité. Le tableau ici reproduit pour l’occasion doit figurer dans une garçonnière sur deux en Belgique, parmi la masse indistincte de bipède volubile que composent les célibataires de tous horizons.

Ses cadrages sont souvent inspirés de ceux du cinéma, qu’il met en abîme en offrant des scènes vues de l’intérieur, ou de l’extérieur d’une fenêtre. De petits groupes de gens semblent d’autant plus isolés qu’ils sont représentés dans des endroits habituellement remplis, et dès lors étrangement désertés : cinémas, bars, métro, bureaux, rue la nuit dans Rôdeurs nocturnes (Nighthawks, 1942). Quel bonheur pour l’esthète de voir les couleurs vivement contrastées, la lumière toujours crue soulignant les lignes géométriques de l’architecture et le sujet qui semble prétexte à structurer le tableau par la réduction des détails… on dirait qu’il a inspirer la ballade de Jim à Souchon.

http://www.cannes-universite.fr/conferenceschrono.htm
Modernité des Réalismes au XXe siècle - USA : d’Hopper à Warhol. Du Pop’Art à l’hyper-réalisme.
Date : 26/1 à 15h
Lieu : salle Stanislas
Intervenant : Christian LOUBET
Aux USA, E. Hopper, dans les années 20-30, fige la réalité par un arrêt sur image, dans une ambiance étrange, à l’opposé du « rêve américain ». Plus tard le Pop’Art valorise des objets banals, tandis qu’A. Warhol mythifie des stars en proposant de nouvelles « icônes ». L’hyper-réalisme (de Andrea) combine les deux démarches dans une figuration illusionniste que d’autres simplement limitent à une présentation ornementale ou décorative (Koons). Des installations introduisent le spectateur à un monde virtuel (Naumann).


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