Bonjour,
" Le grand père de Georges Bush fut lui-même impliqué et tous désiraient
un pouvoir fort de type fasciste permettant la fusion de l’église, des
entreprises et de l’état. « Ce qui veut dire en soi que la cia a du s’infiltrer au cœur de l’Église afin d’y mener campagne en faveur de l’union des forces du pouvoir. Ceci ne légitime pas le rôle des papes concernés sauf celui de Pie XI assassiné comme Kennedy. Si le monde est ainsi fait, c’est bien parce que la notion de pardon bien active chez les religieux vise aussi les assassins. En conclusion, s’il on veut changer le monde, c’est bien en nommant comme vous le faites très bien dans cet article, les véritables responsables de ces états de faits. Ceci dit il est néanmoins essentiel de leur pardonner leurs fautes afin qu’ils vivent avec dans leur conscience interne.
» Nous le voyons ici, l’histoire officielle doit être réécrite. La
seconde guerre mondiale (l’œuvre au noir fasciste et nazie) devrait
être analysée sous l’angle d’une guerre qui a surtout exterminé les
athées communistes, les juifs et les orthodoxes, une guerre de
religion, une croisade, ce que personne (ou presque) ne fait. " j’ai fait une tentative dans ce sens : http://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/rien-ne-vaut-une-bonne-guerre-74174 bien moins documentée que la votre, mais qui m’a valu d’être sévèrement attaqué par de solides opposants à un révisionnisme utile et salutaire.
Ce qui frappe dans votre texte est l’absence totale d’opinion en face des faits établis par des liens éloquents, ce qui est tout le contraire de ma démarche purement d’opinion intime. Le fait qu’elle ne soit pas respectée en temps que liberté de s’exprimer sur chaque sujet, démontre à quel point le fascisme ne s’établit que sur la pyramide des milliers de petits pions chargés de renforcer sur le terrain l’idéologie dominante. Se rendre compte de tout cela peut créer le trouble chez les crédules acteurs du système, mais reconnaitre que l’on a été bien fou de croire libère d’une grande partie du poids que la connaissance enseigne.
Ma devise : He who will not, freely and sadly confess he is much a fool, is all a fool. Thomas Fuller. L’on cesse d’être dangereux le jour où l’on accepte de reconnaitre que l’on est normalement fou. merci pour vos riches détails de l’Histoire. L.S.