Marc,
Vous et moi sommes décidément très fort pour enculer les mouches. Mais ce faisant l’un de nous croit poursuivre une activité plus noble tandis que l’autre en a conscience.
Vous vous méprenez à mon sujet. Je ne fais pas de rhétorique, j’essaye de suivre une dialectique fort simple qui consiste à définir de manière préliminaire les termes d’une question sur lesquels il peut y avoir ambiguïté.
Je n’ai jamais prétendu donner mes définitions (le cas échéant elles seraient bien sur aussi imparfaites qu’inutiles) de l’irrationnel, mais bien répondre, pour les définitions usuelles de ce mot, à votre question de son impact sur mon quotidien. Question hautement inintéressante selon moi. Vous avez donc eu des réponses tout aussi inintéressantes et parfaitement subjectives de ma part.
Je ne prétends à aucune vérité.
Quand à la définition Wikipédienne de « surnaturel » il est amusant de constater que notre monde (l’ensemble de notre univers) y correspond parfaitement... donc tout est surnaturel. A moins que quelqu’un ici connaissent les causes et circonstances de la création de notre univers ou sache le reproduire à volonté...mot toujours aussi inutile s’il en est.
Les mythes et les mystères ne sont pas dénués de sens. Ils
correspondent à des schémas profonds de connaissance. S’interroger
vraiment, c’est pour moi chercher à percer les mystères qui nous
entourent et qui semblent vous émerveiller parfois.
D’accord avec ça, mais s’il sont porteurs de sens, je pense juste qu’ils expliquent plus de choses sur la nature humaine que sur ce qu’ils sont censés expliquer (mythe du Dieu créateur par exemple).
Je voulais simplement dire que les nombres irrationnels n’ont d’irrationnels que le nom.
Et non. Ils n’en ont pas que le nom, ils correspondent également à une définition parfaitement claire derrière ce nom : leur nature non-ratio de deux entiers.
Bref, on continue ? Non parce que j’ai quand même une certaine empathie pour ces pauvres mouches... et en plus j’ai faim.