L’éclatement de la bulle des cartes de crédit est annoncée depuis un moment aux USA, et là-bas on n’en n’a pas qu’une, plutôt une dizaine (il suffit de voir comment est fait un portefeuille US)
Comme pour les sub-primes, le risque a été lui aussi titrisé et quand ça éclatera nous en subirons les mêmes conséquences.
L’emploi généralisé du terme « addiction » commence à m’agacer sévère. De quoi s’agit-il ? A part les acheteurs compulsifs qui ont quelques moyens au départ, quid des ménages qui n’ont plus que cette solution (pourrie) pour boucler le mois, faut-il les considérer comme des malades ? La pauvreté est-elle une maladie ? Ou est-ce plutôt notre système qui l’est ?
Comment oser le mot d’éthique quand le taux d’intérêt frôle l’usure ?
Si j’ai bien compris l’auteur, le revolving ne poserait pas vraiment de problème à condition d’y faire figurer clairement le taux d’assurance. C’est vraiment voir par le petit bout de la lorgnette si ce n’est s’aveugler carrément !
Il faudrait tellement « encadrer » que ça n’intéresserait plus les banques, elles l’ont fait clairement savoir.
Avec ce système, nous allons droit dans le mur. C’est de la cavalerie et là, nous sommes bien d’accord.