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Commentaire de Julien

sur Traité de Lisbonne, article 123 : le coup d'état de la finance


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Julien Julien 21 mai 2010 00:28

@Bulgroz


Bon, j’ai été un peu rude tout à l’heure. Faut dire que c’est énervant, parce que tout le système est basé là-dessus, et on en souffre tous.

« Un banquier est un intermédiaire entre celui qui détient de l’épargne et celui qui en sollicite et qui prend une marge de risque sur les transactions.. »

C’est là qu’on n’est pas d’accord.
Pour moi, un banquier privé pourrait être quelqu’un qui garde l’argent d’un client, en prenant un certain pourcentage. Un coffre fort, en quelque sorte.

A partir du moment où l’on autorise l’argent déposé à être prêté (le client est content, parce que ça rapporte, tout comme la banque), cela veut dire que le processus de « multiplication du crédit » se met en route, et que si tous les déposants viennent chercher leur argent en même temps, ils ne peuvent récupérer leur mise. Cela pourrait être un service rendu par l’Etat.
Le processus de multiplication du crédit doit rester limité, de manière à ce que la masse monétaire initiale soit suffisante pour payer les intérêts.
Par ailleurs, il faut prendre garder aux pratiques de spéculation qui viennent se greffer sur ce service de base.

Quant aux PDGs des banques qui se goinfrent d’argent, c’est une honte !

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