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Commentaire de Jojo

sur « Information », un mot équivoque, selon un ancien ambassadeur de France en Iran


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Jojo 21 mai 2010 13:29

« On sent la rouerie du diplomate »

Cette énormité en dit long sur vos propres rapports à autrui. Dommage d’ailleurs car les diplomates auraient beaucoup à vous apprendre vu que le « marché » que vous êtes est des plus prometteurs, des mieux ciblés ... Cadeau un c’htit aperçu. Toute ressemblance etc…

La diplomatie repose sur une parfaite maîtrise de la langue. La première condition est donc de s’exprimer clairement et simplement, en ayant conscience du niveau de langage que l’on utilise.

 

Un décryptage, par soi-même ou avec l’aide d’un tiers, d’échanges ayant abouti à une mécompréhension, un malaise voire un conflit est également souhaitable. 

Garder le contrôle de soi

Etre diplomate ne veut pas dire se laisser marcher sur les pieds. "Se montrer faible, c’est se laisser déstabiliser par une situation. La diplomatie suppose au contraire de garder le contrôle", explique l’experte. Et cela commence par garder le contrôle de soi-même. Attention, donc, aux réactions impulsives. Les émotions négatives doivent être exprimées mais après avoir été adoucies.

 il s’agit de ne pas envenimer la situation par une note d’agressivité. L’autodiagnostic préalable de vos échanges passés peut vous donner des indications sur les circonstances des dérapages (quel lieu, quel moment, quel interlocuteur ?). Bref, le langage doit agir comme un filtre.

Faire preuve d’une empathie réelle

Enfin, la diplomatie repose majoritairement sur la connaissance et l’écoute que l’on a des autres. "Elle nécessite une vraie empathie. Mais il ne s’agit pas seulement de se mettre à la place de l’autre. Il faut comprendre comment il fonctionne", assure Bénédicte Lapeyre.

Prenons l’exemple d’un collaborateur que vous devez présenter à votre supérieur. Vous trouvez valorisant pour lui de livrer une anecdote qui le concerne et qui, selon vous, n’est pas sensible. A sa place, vous ne seriez pas dérangé par une telle révélation. Mais ce n’est pas obligatoirement son cas : la question n’est pas donc de savoir ce que vous penseriez à sa place mais ce que lui va véritablement penser. "Etre diplomate, c’est donc avoir le souci de savoir comment l’autre va réagir à nos paroles", résume la spécialiste. smiley

http://www.journaldunet.com/management/efficacite-personnelle/conseil/obtenir-plus-grace-a-la-diplomatie-dans-ses-relations-professionnelles/les-qualites-du-diplomate.shtml


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