Rappelez -vous son célèbre :
« I’m not a frenchman »
Ce n’est pas l’anglais qui est en cause, mais l’anglocratie et l’anglomanie...
Florilège :
- 1999 : Louis Schweitzer, PDG de Renault,
pour avoir imposé l’usage de l’anglo-américain dans les comptes rendus
des réunions de direction de son entreprise (juste devant Claude Allègre, sélectionné pour avoir déclaré à La
Rochelle, le 30 août 1997, « Les
Français doivent cesser de considérer l’anglais comme une langue étrangère »).
- 2000 : Alain
Richard, ministre de la Défense, pour avoir obligé les
militaires français à parler anglais au sein du Corps européen alors qu’aucune nation anglophone n’en fait
partie.
- 2001 : Jean-Marie Messier, PDG de Vivendi
Universal, pour avoir systématiquement favorisé l’anglais comme langue
de communication dans ses entreprises.
- 2002 : Jean-Marie Colombani, directeur de
la publication du Monde qui publie sans la moindre réciprocité,
et à l’exclusion de toute autre langue, un supplément hebdomadaire en
anglais tiré du New York Times.
- 2003 :
le Groupe
HEC, dont le directeur général, Bernard Ramanantsoa, a déclaré en décembre 2002 : « Dire
que le français est une langue internationale de communication comme
l’anglais prête à sourire aujourd’hui ».
- 2004 : Claude Thélot, président de la /fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Commission_du_d%C3%A9bat_national_sur_l%E2%80%99avenir_de_l%E2%80%99%C3%A9cole&action=edit&redlink=1" class="new" title= »Commission du débat national sur l’avenir de l’école
(page inexistante)">Commission du débat national sur l’avenir de
l’école, pour avoir considéré « l’anglais de communication
internationale » comme un enseignement
fondamental, à l’égal de la langue française, et avoir préconisé son apprentissage
par la diffusion de feuilletons américains en version originale sur les chaînes de
la télévision française.
- 2005 : France Télécom, opérateur de téléphonie
présidé par Didier Lombard, pour la mise en place de
services et produits aux dénominations anglaises (« Business Talk,
Live-Zoom, Family Talk... »), désigné par huit voix contre quatre pour Yves
Daudigny, président du conseil général de l’Aisne pour sa campagne publicitaire en
anglais « L’Aisne, it’s Open !