Hop ! me re-voilà...
Je m’excuse d’avance auprès de ceux qui sont dans la technique et l’analyse de pointe, je n’ai qu’un regard d’amateur sur tout ça, mais ne savons-nous pas depuis les penseurs grecs de l’antiquité que tout système économique basé sur des écarts de revenus d’un ratio supérieur à 20 serai voué à l’échec... une chose dont je suis sûr, c’est que la logique industrielle et spéculative nous a déjà emmenés 50 fois plus loin, sans aller faire de comparaison occident / tiers-monde... le quart-monde me parait bien suffisant pour le réaliser. Comme le fait remarquer Denis, à quoi sert-il encore de gagner plus quand on a déjà tout et surtout tout pris aux autres. Et quid de la réalité écologique du monde, allons nous tous faire comme la chine et mépriser une réalité mondiale au profit d’un essor illusoire et basé sur des ressources qui ressemblent à un suicide collectif. La réflection, même économique, ne se doit-elle pas aujourd’hui de tenir compte de nombreux et profonds changements de nos modes de vie dans leur ensemble. Essayer de croire au redressement d’un appareil financier voué à la faillite par ses propres principes, est-ce bien sérieux... aurons nous réagi avant le soleil vert, le monde parfait ou qu’un prix nobel mal placé ne nous offre un holocauste planétaire.
La question pour moi n’est pas de savoir si ma génération aura une retraite mais bien de savoir si le mal n’est pas beaucoup plus profond et si la volonté d’y répondre existe ailleurs que dans les chansons de John Lenon. Les richesses produites et le progrès sont-ils encore ce qu’ils ont l’air d’être ou ce qu’on veut nous faire croire ?
Finalement, Denis nous a répondu depuis le début : le problème est ailleurs !