moi ce qui me gêne profondément c’est que ces messieurs dames n’aient rien d’autre dans la vie que de tisser des filets étrangleurs pour les autres et qu’ils veuillent absolument tout décider pour nous.

L’heure et la manière de vivre, jusqu’à notre pensée nous serait dictée par les médias, une vraie hypnose collective et moyenant les neuro-toxiques et la difficulté de penser qui en résulte, la lobotomie qui voudrait que la seule réalité existante serait celle servie dans les écrans et les versions officielles de l’histoire, munies elles de si grands paravents que quand l’un tombe un univers entier se dévoile derrière...

mais ça ne leur suffit pas, faut se prouver qu’ils peuvent réguler les populations, créer des identités factices a été leur programme le plus élaboré et mené toujours plus avant, maintenant chaque bourg a son équipe de foot prête à en découdre avec le village suivant...
 
mais encore entendez par réguler  : stériliser, affamer, tuer et même leur folie va jusqu’à vouloir maitriser la météo non-contents de tous nous numéroter comme du bétail afin de vérifier la producitivité et l’étendue de leurs cheptels.... c’est à dire nous.

De tous temps on aurait appelé cela des... fous.

et puis surtout maintenir la psyché des travailleurs dans des mythes de terreurs post-mortem à donf afin de nous maintenir dans l’obéissance aveugle et la docilité absolue.

qu’est-ce que ça doit être fatigant en fait de vouloir maitriser les autres...

Les PROCES... permanents, le jugement omniprésent, les modèles grotesques pour bien montrer au jeune que plus il apparaitra idiot plus ses chances seront grandes de mener une vie sur une scène et faire danser des foules hallucinées comme un dieu de lumière tandis que la foule baigne dans l’obscurité et oeuvre sur des chantiers tuants. Il faudra seulement qu’il se contente de chanter JE T’AI MEUH ou qu’on ne comprenne rien de ce qu’il dit... pas grave, c’est le rythme qui compte... les désoeuvrés pourront toujours recevoir un bel uniforme et s’enrôler dans les abattoirs à ciel ouvert.

et les belles filles peuvent largement se contenter d’avoir une belle paire de fesses, les autres via l’usine.

La liesse version babylonienne usuelle en somme, qui n’a pas différé d’un iota depuis 4000 ans aussi modernes nous croyons-nous.

Et je suis bien content de ne pas compter parmi leurs brebis auxquelles je souhaiterais putôt de voir pousser quelques bonnes canines de défense face à ces prédateurs et leur monde de chlor et plastique qu’ils nous imposent.