Quand je pense qu’en France, nous ne sommes même plus capables de produire des casse-noisettes (par contre nous avons un petit casse-noix faubourg Saint Honoré) et tout autre objet ménager (les laguioles viennent de Chine !!!) alors nous fourguer cette manifestation footeuse comme le miraculeux remède à la crise est tout simplement obscène.
Primo, rien ne dit que d’ici là, nous n’ayons pas sombré dans une crise encore plus violente que celle que nous vivons actuellement et le gain en terme de taux de croissance sera à peine de 0,3 % fourchette haute. Par contre, les coûts finaux 1,7 milliard risquent fort d’exploser exemple le stade de France et autres infrastructures annexes.
Cela étant, le foute-balle n’a jamais concouru au redressement de la balance des paiements du pays au contraire. Dés qu’un foute-balleux commence à toucher de très gros revenus, la première de ses rares décisions « intelligentes » consistent à aller se faire domicilier à l’étranger pour échapper aux tirs fiscaux !!!!
Les produits dérivés sont à 99 % importés de pays exotiques donc même pas produits dans des ateliers locaux par des « petites mains » qui en tireraient des salaires en lieu et place du chômage et une qualification professionnelle intègre.
Quant aux bienfaits du foute-balle dans l’intégration, oublions, il suffit de lire tous les faits divers sur les incidents dans les stades les dimanches- je ne parle pas du Paris Saint Germain - mais des matchs des ligues locales ; la fédération ferait bien de communiquer sur ces chiffres au lieu de développer des thèses farfelues sur la moralité, la fraternité etc. merci à Zahia pour son ouverture au monde foute-ballistique.
Humblement nous sommes pris pour des veaux par Sarkozy qui ferait mieux de trouver des solutions industrielles à la crise plutôt que des jeux sans pain ni espoir.
Pendant que l’on nous amuse avec ces ganacheries, la France tangue avant de sombrer quant nous allons être relégués en division deux AA par les nouveaux agents-managers banksters d’Outre Atlantique.