Commentaire de gem
sur Darwinisme social et pauvreté, un paradoxe antisocial
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La « lutte pour la vie », c’est l’aspect le plus mineur du problème. La reproduction compte beaucoup plus, et les animaux n’hésitent pas à privilégier tous ce qui peut contribuer à leur succès reproductif contre leurs aptitudes à vivre.
Chez les humains : pareil. Y compris dans les aspects culturels ; « mourrir pour des idées » c’est tellement banal...
Derniers commentaires
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22/12 15:57 - Marsupilami
@ Gem Ton article est extrêmement réducteur et ultra-simpliste, mais il a le mérite de poser (...)
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22/12 15:21 - Dominique
@ l’auteur, vous pourriez peut-être donner un coup de main à Pascal Sevran, je crois (...)
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22/12 15:02 - Dominique
J’arrive encore trop tardivement après la mise en ligne de l’article mais si comité (...)
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21/12 15:05 - miaou
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21/12 14:40 - mathieu
Je voi que l’auteur ne repond pas a mes dires, comment le pourrai t’il avec (...)
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21/12 14:19 - gem
votre opposition entre nature et culture est tout à fait artificiele. Déjà difficile dans le (...)
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