@KingAlBatar
La source que je rechercherai sera un roman, ou un ecrit datant de bien
avant ce que vous dites et qui parle déjà de transmission par la mère.
Comme ca au moins on sera sur.
Si vous trouvez, je prends. Contactez-moi à l’occasion d’une autre rencontre sur Gagavox 
Mais attention mettons nous bien d’accord sur ce qu’on cherche : l’attribution de la judéité par la mère et UNIQUEMENT la mère, quelles que soient les origines du père ou qu’on ignore ses origines, voire son identité.
Parce que je subodore, c’est que dans un système patriarcal, la filiation a toujours été patrilinéaire, garantie par le contrôle et l’enfermement des femmes afin que le patriarche n’ait pas de doutes sur sa paternité. Dans un système endogamique, il choisissait forcément une femme de sa communauté et la question de la filiation matrilinéaire ne se posait pas. Les enfants nés du viol ou hors mariage étaient des batards chassés de la communauté ou esclavagisés.
Ce que les rabbins ont tardivement décidés, c’était surtout en faveur des enfants afin qu’ils soit acceptés par la communauté.
La formulation « on est juif par sa mère » serait alors un raccourci pour imposer le respect aux enfants nés de père inconnu ou non juif. Ce qui expliquerait que, d’après Hassoun, la décision soit tardive et circonstancielle.
Il me semble que,si on se place du point de vue de la protection des enfants, l’histoire du « sang juif » est une déformation de la réalité.