Autre hommage à rendre aux passager du navire irlandais rebaptisé pour l’occasion Rachel Corrie, au nom de la fameuse pacifiste américaine assassinée froidement par les SSionistes ; navire lequel ces corsaires s’apprêtent à intercepter alors que ses passagers décidèrent de maintenir le cap vers Gaza malgré la tragédie vécue par le Mavi Marmara.
La propagande des médias SSionisés est là encore très très patente quand il s’agit pour eux d’évoquer ce navire portant un nom aussi fameux.
Dans un dernier article édité par lemonde (détenu par tzion) on peut lire ceci : Le Rachel-Corrie, navire de commerce qui porte le nom d’une Américaine tuée dans la bande de Gaza en 2003.
Ainsi donc, c’est à peine en ces quelques mots que l’immonde et ses confrères font allusion à Rachel Corrie et à sa mémoire : une américaine tuée en 2003 à la bande de Gaza.
Comme les autres martyrs qui tombèrent sous les balles assassines des lâches SSionistes, Rachel Corrie fut elle aussi une pacifiste martyre qui n’avait commis pour seul « crime » que le fait de vouloir aller au secours d’un peuple ostracisé par les SSionistes, leur témoignant son soutien de la façon la plus anodine.
Rachel Corrie ne fut pas une américaine simplement tuée dans la bande de Gaza, messieurs de l’immonde. Rachel Corrie fut une martyre américaine qui fut lâchement écrasée par un bulldozer SSioniste alors qu’elle manifestait contre une vague de démolition de maisons palestiniennes en s’interposant par son corps (en compagnie d’autres internationaux).
Dans l’extrait d’un film fait à sa mémoire, on peut retrouver dans la minute 1:18 la Porte Mensonges de la Milice SSioniste dire littéralement : il n’y a pas eu de contact véritable entre la défunte et le bulldozer.
[Ah bon ! Elle était morte sous auto-implosion de son propre corps !!!]
Les médias SSionisés n’en ont pas soufflé un mot à l’époque (cons-vaincus peut-être par un tel argument massue) et continuent là encore à jouer le rôle de courroie de transmission transcontinentale du Ministère de la Défonce SSioniste.
Vraisemblablement, les médias sont bel et bien sous occupaSSion. 