Le sénateur (et notaire de profession ) Alain Lambert ( Conseiller municipal de St Ceneri le Gerei, Président de la Communauté urbaine d’Alençon et de ses 50 000 habitants, Conseiller général 1985-1992 et depuis 2004 et Premier vice-président du conseil général de l’Orne et à nouveau maire d’Alençon depuis le 28 septembre 2006)
n’a vraiment rien contre la personne de Thierry Breton. Il conserve au contraire le souvenir, toujours reconnaissant, du chef d’entreprise qu’il était (Thomson),
Eh bien moi je n’aime ni les sénateurs cumulards ni Thierry Breton qui, lorsqu’il était PDG de France Télécoms en 2003 et 2004 a généralisé des pratiques relevant de l’escroquerie pour piéger le client Wanadoo et dont j’ai été une des victimes par vente forcée d’un service que je n’avais pas demandé et qui m’a été néanmoins facturé.
26 février 2005 : Thierry Breton, Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie
Cette nomination a eu lieu après la démission d’Hervé Gaymard, atteint par un scandale politico-immobilier (affaire Gaymard).
Problèmes judiciaires de Thierry Breton 28 juin 2005 : une perquisition ordonnée par le juge Henri Pons dans le bureau ministériel de Thierry Breton à Bercy est réalisée par la DNIF (Direction Nationale des Investigations Financières). La justice cherche à établir l’implication du ministre dans des malversations financières concernant l’entreprise Rhodia dont le ministre était membre du conseil d’administration et président du comité d’audit jusqu’en juin 2002 (affaire Rhodia). Les perquisitions visent aussi à établir des preuves sur une autre affaire concernant la cession à bas prix de Canal+ Technologies à Thomson Multimédia, société dont Thierry Breton était PDG jusqu’en septembre 2002.
Écrits : 1984 : Softwar (La guerre douce), Thierry Breton - Denis Beneich, Ed. Robert Laffont, Paris
thriller technologique. Thierry Breton, après de nombreuses années, a concédé, devant un journaliste du mensuel économique l’Expansion, que l’essentiel du livre a en réalité été écrit par Denis Beneich, lequel lui attribue « l’idée » qui est à la base du roman.
Bon, de toutes façons, Alain Lambert ne répond jamais aux commentaires. Il se contente de poser sa fiente sur Agora et puis s’en va. Normal, avec 4 mandats sur le dos (rétribués combien par nous les contribuables ?) ... !!!