Il faut également prendre en compte un type d’habitat collectif susceptible de répondre aux attentes des fervents de l’habitat individuel. Cette prise en compte peut avoir un coût à mettre en regard des économies faites sur les infrastructures et l’économie de terrains agricoles.
Ce type d’habitat collectif existe et présente un grand intérêt mais il est très coûteux : ce sont par exemple, les « gradins-jardins » qui constituent des sortes de « pyramides », constituées d’empilements de « modules » individuels dont chacun bénéficie d’une terrasse privative (un jardin suspendu) et d’un accès individualisé (exemple : une place de parking couvert à l’aplomb du logement, accessible par ascenseur). Ces habitats collectifs peuvent sans impression d’écrasement avoir 12 étages qui s’évasent vers le ciel, mieux encore si les couleurs du bâtiment se fondent avec ciel et nuage.
Le surcoût est du aux différences notables d’un appartement à l’autre d’un étage à l’autre : disposition des pièces, taille des appartements etc un vrai casse tête que devrait résoudre plus facilement S.M. AUTOCAD.
Simplement pour souligner que les économies de tous ordres liées au développement durable (association avec « décroissance », « économe »...) ne doivent pas être intégrées dans l’esprit des concepteurs et collectivités locales comme une économie financière. Il faut intégrer un surcoût lié au « durable ».
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