"Maintenant, nul ne peut se cacher la réalité car elle
est devant tous : la zone euro marche à sa dislocation, l’euro à sa
mort, et, au-delà, c’est tout le système capitaliste qui marche les
yeux fermés à la catastrophe.«
Monsieur l’auteur, ou vous vous tirez une balle dans le pied, ou vous êtes pronéocon.
Quelle est la situation économique et monétaire : les US depuis 1945 ont le contrôle de la planche à billets. Le dollar était garanti par l’or.
Ayant vidé les caisses, ils ont décidé en 1971 que l’or c’était fini, et que c’était eux qui fixaient la valeur du dollar : depuis 1945, ils ont vécu à nos crochets.
Là ils sont submergés de dettes, incapables de rembourser, ont détruit une bonne partie de leur industrie, et nous ont entraîné dans la chute.
L’Europe a créé sa monnaie, les sud-américains, les pays pétroliers construisent la leur, des contacts sont en cours entre ces derniers et les japonais et chinois pour mettre en place une nouvelle référence monétaire pour remplacer le dollar.
Et vous vous arrivez, chemise au vent et tout échevelé criant »sus à l’euro" qui représente 27 à 35% des réserves mondiales (selon les sources)
OH peuchère, le petit il est pas bien. Il cite même la Hongrie qui n’est pas dans la zone euro.
La manoeuvre en cours pour faire baisser l’euro est menée par les américains qui ne veulent surtout pas lâcher le manche : Soros, Buffet et d’autres sont à la barre.
Interdisez les achats à découvert de l’euro, et vous allez voir, tout va rentrer dans l’ordre et le dollar s’écrouler.
Que vous soyez partisan de donner un grand coup de torchon, tout à fait d’accord.
Commençons d’abord par nationaliser les banques, puis mettons le curseur de répartition des richesses en faveur du travail et non des actionnaires.
Tout le reste n’est que littérature.
Un pronostic qui n’engage que moi, mais je ne suis pas le seul : l’euro à 1,45 pour la fin de l’année.