j’oubliais ça :
« J’ajoute que morice n’a, en 3 ans, jamais revandiqué de soutient à un homme de gauche.
Sa fascination malsaine pour le nazisme, laisse envisager plutôt, la recherche d’une
figure paternelle autoritaire. Du masochisme, le besoin de se sentir martyr.
Un parfait exemple de paumé, au sens idéologique. Un desaxé, coincé entre mai 68 et la chute du mur.
Contre la liberté sexuelle, et pour la radio libre… Oui, un paumé. »
on va lui rafraîchir la mémoire au délateur....
L’homme est en effet « viscéralement antisémite » comme le notait le procureur adjoint de Paris le 3 avril 2007, lors d’un énième procès intenté cette fois par Faurisson à Robert Badinter. Le 22 mai de cette année là, notre négationniste était débouté et condamné à 5000 euros d’amende. Faurisson devenait bien, selon le jugement, un « faussaire de l’histoire », phrase dont l’avait accusé Robert Badinter lors d’un débat télévisé précédent en rappelant un énième procès le concernant. Dans un précédent procès, qu’il avait gagné contre Faurisson, Badinter avait en effet, chose exceptionnelle, cité son propre cas :« J’avais 13 ans quand mon oncle a été arrêté au domicile que nous venions de quitter, en octobre 1941. Il a été dénoncé et envoyé à Drancy et, de là, a disparu. J’avais 14 ans quand ma grand mère parternelle a été arrêtée à son domicile par des policiers français sur ordre de Bousquet. C’était au début de l’automne 1942. Elle avait 80 ans. On l’a descendue dans une civière, envoyée à Drancy, déportée, et on n’a plus eu de ses nouvelles. J’allais avoir 15 ans quand mon père a été arrêté à Lyon... bien entendu, nous n’avons jamais eu de ses nouvelles. » Badinter avait conclu avec le souffle épique qu’on lui connaît : « Que les choses soient claires. Pour moi, jusqu’à la fin de mes jours, tant que j’aurai un souffle, vous et ceux de votre espèce ne serez jamais que des faussaires de l’histoire la plus tragique. » Faurisson, depuis est DEFINITIVEMENT un faussaire de l’histoire, donc. Et Badinter un homme bien admirable.
à part ça.... jamais salué d’homme de gauche... sordide bouffon !