Goldman Sachs est le fleuron du système mafieux de financiarisation et de privatisation du monde. 

Bien entendu, ils sont infiltrés dans tous les rouages politico-economico-financiers, pour guider les décisions en leur faveur, et sont, dans le système actuel, totalement hors d’atteinte, quant à leurs prévarications, magouilles, et manoeuvres dilatoires. 

La seule solution est que les états annulent TOUTES leurs dettes vis à vis de Goldman Sachs et autres officines privées de prédation du monde, et que soit instaurée la nécessaire réforme monétaire, qui supprime leur pouvoir de nuisance aux vampires de la finance.

Ca ne viendra certainement pas des instances politiques, prises à la gorge par leur propre démission, et leur complicité avec la mafia financière en place depuis les accords scélérats de 1973. 

On ne voit guère que des soulèvements populaires d’importance ; actions de résistance civile passive ET active, boycotts, manifestations, pour essayer de changer le cours des choses ; mais vu le faible niveau de mobilisation des citoyens, même en ce qui concerne leurs intérêts directs (retraites, plans d’austérité, etc...), on comprend que c’est pas gagné... 

En France, tranquillement, Fillon annonce une économie de 50 milliards ; dont 45 seront prélevés sur les divers services publics (hôpitaux, éducation nationale essentiellement) et les citoyens, et ................ 5 milliards (soit 10%)..... sur les niches fiscales...

Autant dire que c’est encore à la majorité des citoyens qu’on va faire payer les pots cassés (par les banques et les puissances financières), en réduisant leur pouvoir d’achat, en démantelant les services publics, en faisant travailler plus pour gagner moins,quand l’argent de la spéculation, et les revenus colossaux du capital ne seront même pas écornés... Et tout ça risque de passer comme une lettre à la poste (privatisée) face au bon peuple résigné, contraint, soumis... 

Quand est-ce qu’on avoir enfin les c...... de nous battre pour nos DROITS, et pour restaurer un minimum de justice ? 

Annulation des dettes, nationalisation des banques, réforme monétaire, et basta...