Christian > « Nous n’avons pas plusieurs siécles pour apprendre à devenir une »intelligence collective« , nous n’avons que 20 ou 30 ans devant nous et encore. »
Luigi > « Dès lors nous pouvons comprendre qu’il ne s’agit pas tant de ne pas pouvoir adhérer à cette intelligence collective mais plutôt d’en éprouver le besoin vital de survie. »
20 ans me semble très long par rapport à ce qui nous attend à court terme et que certains indices signalent.
Si nous observons bien nous devrions déjà au minimum supposer que notre survie pourrait être menacée, et que nos modes de vies actuels le sont réellement, ce qui devrait induire chez nous ce sentiment de « besoin vital de survie ».
A titre indicatif j’ai posté ce matin sur un autre blog dans la rubrique « Faire face aux dérèglements climatiques » un commentaire (voir lien ci-dessous) qui illustre que certains indices qui ne font pas la « une » des JT devraient être médiatisés comme étant de sérieuses alertes car ces indices indiquent de réelles menaces.
Il y aurait donc une question essentielle : celle d’une information très précise, s’appuyant sur des sources dignes de foi et présentée d’une façon très explicite au plus grand nombre de façon accessible (en évitant les jargons).
Car ce ne sont pas « des bonnes volontés pour protéger l’environnement » qu’il faudrait maintenant mobiliser (il est probablement bien tard) mais des volontés pour que notre survie soit assurée de la meilleure façon pour tous.