Salut Marc,
La philologie romane, comme nous l’appelons, sans lui attribué de lettre « L », « I » ou que sais-je est une branche est très bien définie derrière le lien venant de Suisse :
L’éventail
des définitions possibles de la philologie romane,
branche éminemment interdisciplinaire, est assez
large, sa notion est plutôt mouvante, sans qu’on
puisse dire qu’elle soit floue. Vu l’ampleur du domaine
qu’elle couvre, son enseignement est dans une certaine
mesure conditionné par l’orientation personnelle de
chaque chercheur ou par les traditions des
différentes écoles philologiques.
Il s’agit d’une
branche éminemment historique, qui vise à
étudier les faits linguistiques et culturels dans
l’optique de leur évolution, du changement dans le
temps, cherchant à les situer par rapport à ce
qui précède et à ce qui suit, dans la
conviction que la connaissance des antécédents
et des changements successifs permettront une meilleure
approche et une connaissance plus intime de la
réalité linguistique et culturelle que l’on
est en train d’étudier.
Il ne faut pas lui attribuer plus.
Science humaine comme les autres. Le numérique lui semble souvent lui faire la nique aujourd’hui.
On appelle cela la fracture numérique.
Je me souviens, il y avait les trois parties distinctes déjà à l’origine.
Latines, sciences et mathématiques. La filière classique ou moderne.
Cela a-t-il changé ? 
Qui gagnera ?